semaine du 26 mars au 1er avril
7 jours, 7 pays, 7 films +1
QUELQUE CHOSE DE VIEUX, QUELQUE CHOSE DE NEUF, QUELQUE CHOSE D’EMPRUNTE
film argentin de Hernán Rosselli avec Maribel Felpeto, Alejandra Cánepa, Hugo Felpeto – 1h40
le 26 mars à 20h30, le 27 à 15h15, le 31 à 18h
Dans une banlieue populaire de Buenos Aires, les Felpeto ont leur business de paris sportifs clandestins bien rôdé. À la mort du père, la mère et la fille reprennent en main les affaires. Mais on parle de purges dans la police, d’importantes sommes d’argent déplacées, de perquisitions dans le quartier… La famille se prépare au pire alors qu’un lourd secret menace d’être dévoilé.
LA CHUTE DU CIEL
film documentaire brésilien d’Eryk Rocha et Gabriela Carneiro da Cunha – 1h50
le 27 mars à 20h15, le 28 à 17h45, le 1er avril à 13h30
Les Yanomami, tribu indigène de l’Amazonie brésilienne, mènent une lutte acharnée pour préserver leur territoire et leur mode de vie ancestral face à la menace du « peuple de la marchandise ». À travers le discours puissant de Davi Kopenawa, chaman et porte-parole de sa communauté, le film offre une immersion profonde dans leur cosmologie et se fait l’écho d’un appel urgent à la sauvegarde de la forêt et à la redéfinition de notre rapport à la nature.
LA MEMOIRE ETERNELLE
film documentaire chilien de Maite Alberdi – 1h25
le 26 mars à 16h, le 27 à 18h15, le 1er avril à 20h30
Augusto Góngora, journaliste chilien et grand chroniqueur des crimes du régime Pinochet, et Paulina Urrutia, actrice, activiste et politicienne, forment un couple amoureux et soudé depuis plus de 20 ans. Il y a 8 ans, on lui a diagnostiqué la maladie d’Alzheimer. C’est l’histoire du dévouement chaleureux et intransigeant de Paulina et de la lutte acharnée d’Augusto pour conserver son identité et surtout un témoignage profondément émouvant de leur amour.
MI BESTIA
film colombien de Camila Beltrán avec Stella Martinez, Mallerly Murillo, Héctor Sánchez – 1h16
le 28 mars à 16h, le 30 à 18h, le 31 à 13h30
Bogotá, 1996. La population est effrayée : le diable va arriver lors d’une éclipse de lune imminente. Mila, 13 ans, sent que le regard des autres sur elle se fait plus oppressant. Elle se demande si la métamorphose de son corps a un rapport avec cette prophétie. Le jour tant redouté arrive, la lune rouge illumine le ciel.
MEMOIRES D’UN CORPS BRULANT
film costaricain d’Antonella Sudasassi Furniss avec Sol Carballo, Paulina Bernini, Juliana Filloy – 1h30
le 29 mars à 15h45, le 31 à 20h30, le 1er avril à 18h15
Ana a l’âge où l’on peut enfin vivre pour soi. Après tant d’années passées sous le joug du père, du frère, du mari, elle vit sa vraie jeunesse, s’épanouissant dans une féminité enfin libérée. Elle nous transporte d’une époque à l’autre en évoquant les souvenirs d’une vie entre tabous, sentiment de culpabilité et désirs secrets.
LE HUITIEME ETAGE, JOURS DE REVOLTE
film documentaire canadien de Pedro Ruiz – 1h31
le 27 mars à 13h30, le 28 à 20h15, le 30 à 13h30
Périple poétique sur les traces d’un homme qui revient sur son exil à Cuba. Un voyage entre réalité et démesure par un ancien membre du Front de libération du Québec. Un récit qui prend la forme d’un retour dans la chambre du huitième étage de l’hôtel National à La Havane.
NO NOS MOVERAN
film mexicain de Pierre Saint Martin Castellanos avec Luisa Huertas, Rebeca Manríquez, José Alberto Patiño – 1h40
le 28 mars à 13h30, le 29 à 18h, le 1er avril à 15h15
Avocate obstinée, Socorro n’a qu’une obsession : retrouver le militaire qui a tué son frère lors du massacre des étudiants de Tlatelolco en 1968, à Mexico. Son désir de justice l’a progressivement éloignée de sa sœur Esperanza et de son fils Jorge. Après des décennies de recherches, la vieille femme semble enfin découvrir une piste qui la met sur la voie d’un mystérieux militaire. Pour parvenir à ses fins, elle va alors élaborer un plan aussi périlleux que grandiloquent avec l’aide de son jeune voisin Siddartha, aussi enjoué qu’imprévisible…
PEPE
film documentaire domicain de Nelson Carlo de Los Santos Arias – 2h02
le 26 mars à 17h45, le 30 à 20h, le 31 à 15h15
Pablo Escobar c’est 30 milliards de dollars, 5000 meurtres, 80% du trafic mondial de cocaïne… et 1 hippopotame : voici l’épopée fantastique de Pepe, de la Namibie à Medellín.